« La révolution que nous attendons (...) doit consacrer la prééminence de la richesse des bras sur toutes les autres. »
L'écho de la fabrique , 6 octobre 1833.
Au départ d'un texte écrit peu après la révolution de 1830 en France, dans lequel des ouvriers lyonnais revendiquent que leurs bras soient reconnus comme première source de richesse, Jean Blairon et Jacqueline Fastrès examinent dans cette analyse les parallélismes que l'on peut faire avec la situation que nous vivons aujourd'hui. Comment l'économie immatérielle met-elle à mal cette revendication qui peut paraître acquise et quelles seraient les conditions pour se prémunir de ce retournement?