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Le 19 mars, le CEPAG et la FGTB organisaient à Dison une conférence-débat sur un thème particulièrement délicat : « Démocratie en crise - crise de la démocratie », dans le cadre du 7è festival de résistance. Les partenaires présentaient ainsi la thématique : « Le désinvestissement à la participation démocratique d’un nombre important de citoyens nous amène à poser la question du « comment en est-on arrivé là » ? Le désintérêt de la chose publique, la chute de la participation aux élections, la désillusion du principe démocratique, le retrait face au militantisme, le déni des représentants politiques, ... Tant d’indicateurs qui signalent un retrait important de la participation à la démocratie. La citoyenneté moderne serait-elle synonyme de dé-responsabilité ? » Pour répondre à ces questions, trois invités : Paul Hermant - Acteurs des Temps Présents, Joanne Clotuche - Tout Autre Chose, et Jean Blairon - Directeur de RTA Namur.

Pour Jean Blairon, force est de reconnaître que ces derniers mois ont connu une relative effervescence avec l'apparition de plate-formes diverses, qui semblent faire mentir ce constat de dé-responsabilisation.
La diversité d'expériences simultanées pose toutefois, en tant que telle, de multiples questions aux acteurs. Nous en aborderons trois dans cette analyse :
A quels problèmes cherche-t-on une réponse ? Quel est le point de vue des acteurs ? Quels sont les espaces de choix structurants ? L'auteur termine avec trois autres questions discriminantes dont il pense que les plate-formes ne pourront faire l'économie.
Cette analyse est la retranscription de son intervention.

Voir aussi : "La création de plates-formes, une nouvelle forme de mobilisation politique?",
par Jean Blairon et Isabelle Dubois, Intermag.be, 2015.


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