AMO : à Jeune2000 on a un site Internet - et pendant tout un moment, c'était les jeunes qui mettaient l'info sur le site - on n'a pas FB, mais les jeunes qui s'investissent dans le site Internet, ont eux-mêmes un FB et ont des amis et font le bouche à oreille virtuel, eux, par FB. Donc ça va très vite, mais nous, perso, on ne fait rien.
Et ce qu'on s'est rendu compte, c'est que même le véhicule du service, sur lequel il est mis jeune2000 AMO est clairement identifié au milieu du village. Donc le secret professionnel, on est excessivement prudent par rapport à ça - mais les suivis individuels, ont s'est rendu compte que c'était beaucoup par bouche à oreille qu'ils arrivaient chez nous, via leur communication FB.
AMO Ciac : Est-ce que tu penses qu'un jeune qui répercute l'information, ça a plus d'impact qu'une info qui partirait de ton service ?
AMO : mais depuis 19 ans, on a toujours dit, on essaye, et je pense que ceux qui nous connaissent sur l'arrondissement, savent combien les jeunes s'investissent très fort - c'était le principe dès le départ - au maximum que ce soit leur affaire, et leur à faire - en un mot et en deux - à construire.
Donc leur participation - Internet - eux, déjà disent à d'autres et les jeunes réussissent bien mieux dans la communication d'événements - qui sont leurs affaires - pas un événement que nous, nous avons décidé au sein de l'équipe à plaquer, comme ça - mais à partir du moment où ils sont acteurs des différents projets, ils le portent, et donc ils en sont très fiers, et ils en font eux-même la publicité et ils peuvent même inviter la presse écrite pour parler d'un projet.
Donc voilà, moi je pense que si on a le site Internet, on est bien contents avec ça - le site Internet, impliquer les jeunes au maximum, et on se rend compte que ça peut bien fonctionner. Mais on se rend compte que eux, ce n'est pas tellement les SMS, ce n'est pas tellement le site internet, c'est FB - entre eux..
J.-M. Van Gyseghem : et donc finalement, vous bénéficiez de FB sans devoir prendre le risque
AMO : comme un jeune en rue, ou un copain dirait "j'ai un problème de ..." et les autres diraient "ben va à l'AMO!".